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Chapitre 1: De la genèse de la République à la grande guerre de l'hyperespace[]

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C'est à peu près en -30000 qu'apparait la plus grande avancée de toute l'histoire galactique : l'hyperespace. Dès lors, cette création, dont l'auteur nous est inconnu, va permettre l'émergence de sociétés d'échelle inter-stellaire, voire galactiques.
La première grande civilisation inter-galactique qui laisse sa marque dans l'histoire est l'espace Hutt, empire criminel dont il ne reste aujourd'hui qu'une fraction de ce qu'il était à son apogée, mais qui marque l'avènement des empires et des États pluri-planétaires.
C'est en -25000 que débute réellement l'Histoire, avec la signature historique de la première constitution galactique, instaurant un État de droit et de liberté sur des dizaines de planètes. Un État qui prend dès lors le nom de République.
Dès ses débuts balbutiants, la République tient sur deux piliers qui font la force de son unité: l'Ordre Jedi et le Sénat Galactique.
Le Sénat, symbole de la souveraineté des planètes membres sur leurs destins et organe principal à cette époque lointaine, qui travaille à la loi républicaine et à sa gestion, épaulé par la tutelle de la chancellerie et de son chancelier suprême.
L'ordre jedi, symbole de la liberté et de la paix, qui œuvre aux respects des valeurs de la République sans pour autant en devenir un organe officiel, ni lui être subordonnée.
Cette union, bien que connaissant de multiples guerres internes et des petits conflits avec ses voisins, perdure sans bouleversements pendant près de 20 siècles, jusqu'à l'arrivée sur la scène galactique de ceux qui jurent sa destruction : les sith.
Seuls les jedis savent d'où les sith viennent, et s'il se murmure que ceux-ci sont d'anciens membres de l'Ordre, toujours est-il qu'en -6900 éclate une guerre civile entre les jedis, qui donne lieu au bannissement d'un groupe de jedi noir dont le destin nous est inconnu.
1000 ans plus tard, un empire puissant est découvert dans la bordure extérieure. Cet empire, dirigé par les siths et ayant pour centre de gravité un secteur de la galaxie qui pris le nom de secteur sith, prospère depuis plusieurs siècle en marge de la République, et possède un esprit vengeur envers les jedis.
Si les historiens ne cessent de s'interroger sur le lien plus ou moins direct avec le groupe de jedis banis, en -5000, le seigneur noir des sith Naga Sadow déclenche une guerre connue sous le nom de grande guerre de l'hyperespace.
Cette guerre voit le premier conflit entre les forces sith et la République, menée par les jedis qui en commandent l'armée, et la chute de l'empire sith après une défaite lourde de conséquence pour la galaxie. Historiqueemcorrepdq7



Chapitre 2: 4000 ans de troubles siths[]


La chute de l'empire sith ne signifie pas la destruction de ceux-ci. Et très vite, la graine du coté obscur, lancée par le pillage des haut-lieux de l'ancien empire par les jedis et les érudits de toutes origines, ne tarde pas à germer partout dans la république, créant une suite de guerre pendant près de 4000 ans.
La première est la grande guerre sith, une guerre purement entre les deux ordres, mais qui scinde la République entre les partisans des jedis et ceux que le combat incessant lassent.
Exar Kun, autoproclamé sith, ne l'est que le temps d'être vaincu, mais laisse derrière lui une nouvelle graine de discorde.
En -3976, alors que la paix durent depuis 50 ans, une force d'assaut mandalorienne, venu de l'empire guerrier mandalorien de la bordure extérieure, attaque la République et réactive cette graine.
La République réagit en envoyant des troupes, mais le conflit restant en dehors de sa sphère, elle n'agit pas directement et laisse la situation se dégrader tandis que l'Ordre jedi hésite à agir aussi.
Menée par un jeune jedi du nom de Revan, une partie des chevalier jedi partent en guerre et réussissent à vaincre les mandaloriens.
Mais ce n'est pas la fin des troubles dans la République.
En effet, la graine de la discorde que le savoir sith a laissé dans la galaxie germe en la personne de Revan, qui se proclame Seigneur sith et emmène une partie de la flotte de la République, appuyée par une flotte dont l'origine est inconnue, dans une grande croisade visant à la conquête absolue.
Pendant 5 années, les armées des sith infligent défaites sur défaites à la République que le Sénat, incapable de se mettre d'accord sur les moyens à employer, paralyse.
Ne tenant le coup que par la vaillance des amiraux de la flotte et des Jedis, l'immense union galactique voit son territoire envahi jusque dans la bordure médiane, voir même dans la zone des Colonies parfois.
Mais la guerre est quand même gagnée grâce à la rédemption du seigneur noir Revan, qui tue les principaux sith.
Ce qu'on appelle la guerre civile des jedis se termine donc par la victoire de la République.
Forte de cette victoire, et se remettant peu à peu de ses guerres à répétition, une période d'extension sans précédent s'ouvre pour le système galactique qui colonisent de nombreuses planètes que ce soit dans la bordure médiane ou la bordure extérieure.
Une prospérité et la paix s'installent.
Mais une fois de plus, la paix est troublée et moins d'un siècle après la disparition des siths, ceux-ci réapparaissent. L'empire sith, jadis vaincu, s'avèrent avoir survécu dans l'espace sauvage, attendant son heure alors même que d'autres siths, ceux de Revan, affaiblissaient sans le savoir son ennemi.
La guerre éclata et dura deux siècles, alternant entre statut quo hostiles et franches manœuvres de guerre. Au final, les sith disparurent comme ils étaient venus : dans les ombres, laissant moins de trace en réalité que les siths de Revan. Les jedis considèreront qu'ils n'étaient que le dernier brasier d'un feu déjà éteint et tenteront de convaincre le Sénat que les vrais sith dangereux sont les nouveaux et qu'il faut les pourchasser.
En vain, les maîtres s'acharneront à convaincre des Républicains convaincus que la seule nécessité est celle de détruire les restes de la flotte sith et non de pourchasser d'hypothétique survivant d'un ordre révolu depuis plusieurs siècle. Les sages du temple se contenteront de prédirent que la descendance de Revan, vieille de trois siècles causera plus de souffrance à la galaxie que la descendance moribonde des premiers siths, vieille de plus de mille ans. Et ils auront raison.
En -2000, la République voit à nouveau surgir devant elle un empire sith dont l'origine reste obscure, mais qui lance ses forces contre elle.
Pendant 1000 ans, une suite de guerre et de période de statut quo déchirent la galaxie qui finit exsangue et ravagée. Et si en -1000, les sith sont définitivement vaincus à la bataille de Ruusan, la République mettra plusieurs siècles à se remettre d'un tel carnage, le pire qu'elle eut jamais connu.
Peu de chose se produiront en 1000 ans, mais malgré tout la paix n'est jamais parfaite. La République, qui s'étend désormais bien moins loin qu'auparavant, ne peut empêcher la création d'entité galactique dans les secteurs qu'elle ne contrôle plus. Ainsi, au fil des siècles, de nombreuse corporations s'approprient le territoire laissé dans la Bordure Extérieure, devenant des États officieux parfois, officiel à d'autre moment. Ainsi, ré-apparait l'hégémonie de Tion, une alliance militaire du secteur du même nom, mais aussi la FDC, en -350, puis l'Autorité du Secteur corporatif en -250. Peu a peu, le vide laissé sur les planètes abandonnée à leur sort qui peuplent la Bordure Extérieur est comblé, soit par les corporations, soit par des seigneurs de guerre brutaux, soit par les conglomérats criminels. Si dans l'espace Républicain, paix et prospérité demeurent, en dehors, la loi du plus riche s'affirme. Au moins éloigne-t-elle la barbarie de celle du plus fort.
Au environ de -10, après 1000 ans de paix plus ou moins troublée et sans sith, le Sénat décide de renouveler la Constitution galactique et de fonder officiellement la première République, qui n'avait jamais été officiellement reconnue par le texte comme un véritable État.
Nommé au poste de chancelier Suprême, Padmé Amidala, une diplomate de Naboo, devient le premier chef d'État d'une République qui a 25000 ans d'existence derrière elle, sans jamais avoir possédée de texte qui la qualifiait officiellement.
Cette refondation sonne comme un nouveau départ, et la galaxie s'en réjouit.
Cette nouvelle première République décide de rompre avec le passé et met en place deux grand principe:
Paix et désarmement dans la République.
N'ayant plus besoin d'armée Républicaine depuis plusieurs siècles, ces deux fondements achèvent la lente agonie de celle-ci qui est dissoute.


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Chapitre 3: De la refondation de la République à Bastion[]


Seulement... Rien n'est parfait, et tout le monde n'est pas doté d'admirables intentions. Un contrebandier du nom de Han Solo découvre en effet, lors de sa séquestration sur Géonosis, une armée de droïdes assassins destinée à éliminer les têtes de la République. On s'inquiète que les affres de la réalité reviennent à grand pas. La diplomate Leia Organa libère Solo, le complot (peu clarifié par ailleurs) est éventé. L'illusion d'une République pacifiste et désarmée s'effrite quelque peu.
Un débat agite alors le Sénat, sur la nécessité d'une armée. Des pacifistes s'opposent à des partisans d'un dispositif armé (ne parlons pas de militarisme, on ne peut pas dire que la Galaxie soit très développée en la matière, pas encore en tout cas).
Un projet fait consensus : la création d'un Tribunal Galactique de la République. La voici dotée du trio indispensable : le législatif, l'exécutif et le judiciaire. Seulement personne ne savait à quel point cette instance allait servir. En effet, alors que Padmé Amidala séjournait sur sa planète natale Naboo, la réapparition d'un Seigneur sith sème le trouble. Ce sith, Darth Revan, dont le nom est homonyme du sith qui causa l'une des plus grande menace pour la République, mais la sauva également, est arrêté et jugé et fait des révélations inquiétantes.
En effet, l'existence de sith ayant survécu à la bataille de Ruusan semble être affirmé, et la psychose s'empare de la société galactique qui redoute une guerre que les années de paix rapprochent d'un fantasme apocalyptique plus que d'un vrai conflit.
Son procès, l'un des plus fameux de l'histoire républicaine, débute alors, pour haute trahison. Mais des évènements viennent accélérer le processus de panique que le jugement déclenche déjà.
En effet, sans que l'on sache vraiment pourquoi et dans quel but, un réseau terroriste s'en prend au Sénat et fait exploser des bombes dans le bâtiment, ainsi que sur le Temple jedi.
La peur se propage alors rapidement et les rumeurs de retour des siths, dont la description tient du cauchemar plus que de la réalité, suivent.
La République réagit et se réorganise : un Haut-Ministère dirige un gouvernement auquel incombe la puissance exécutive, se séparant de la chancellerie qui reste la présidence du Sénat (mais dont la popularité originelle grignotera parfois sur les prérogatives du Ministère). Des soldats et pilotes sont alors recrutés, pour assurer la Défense de la République, mais on se refuse à parler encore d'armée
Cette réaction ainsi que la condamnation de Revan achève de calmer les esprit qui restent malgré tout très sensible à l'impression persistante qu'une menace plane quelque part.
C'est dans cette période que se créent de grandes corporations et de grandes entreprises, préférant se regrouper plutôt que compter sur la République. Ainsi, la Fédération Du Commerce issue des mondes Némoïdiens, déjà parmi les plus puissante société commerciale de la galaxie, rachète de nombreuses sociétés d'armements et de construction de vaisseaux, devenant la première puissance commerciale de la galaxie, concurrencée seulement par le Techno-Syndicat dans le domaine de l'industrie, par Kamino dans le domaine de la construction de flotte, et par la guilde du commerce.
L'atmosphère de méfiance et de création de force capable de faire ce que la République est incapable de faire, à savoir se protéger, devient le terreau propice à l'éclosion d'une nouvelle force : la corporation.
Proposé par Kakett Lah, un contrebandier devenu riche et influent, la Corporation devient vite l'une des plus puissantes entreprises industrielles, dépassant même le Techno-syndicat et la Fédération du Commerce, sans pour autant inquiéter celle-ci qui domine la galaxie de part ses activités commerciales et financières.
Alors que la République est divisée par la création de toutes ses confédérations aux pouvoirs et à l'influence grandissante, le mandat du second chancelier: Kren Blista, s'ouvre sous de meilleurs auspices, puisqu'il voit la mise en place d'un programme de relance énergiques.
Mais ce n'est que de la poudre aux yeux, car à la fin de ce mandat, la République est plus affaiblie que jamais.
C'est l'arrivée au pouvoir d'une des plus grande chancelière que la République ait connu qui relance celle-ci. En effet, Maxandra, énergique et influente, créée l'école de diplomatie et met réellement en place le programme d'éducation de son prédécesseur.
La chancelière a juste le temps de relever la République que déjà la menace attendue arrive: l'Empire Sith, refondé à partir de Korriban, se dévoile et apparait comme une puissance de premier plan.
Le conflit est inévitable, et la lutte d'influence est rude alors que les jedis n'arrivent pas encore à convaincre la République, qui refuse de provoquer la guerre contre un empire qui n'est pour une fois, pas immédiatement hostile, qu'il faut agir.
Mais les sith, comme à chaque fois, finissent par attaquer et leur alliance plus ou moins connue avec la Corporation fait trop peur pour que la République reste neutre.
L'empereur Plagueis a beau mourir sous l'assaut du Maître jedi Yoda, l'empire est de plus en plus menaçant.
C'est autour de Bastion que le sort se joue, et la flotte de la République menée par Gyld Tidus, un rodien, affronte celle des sith menée par le cyborg Shakar. L'issue de la bataille semble donner gagnant les siths, mais la Corporation, alliée des sith par convention plus que par idéologie, va en décider autrement.
Car l'empire a un point faible, il est scindé entre les siths et les militaires, et les deux puissances s'affrontent pour le pouvoir. Conscient de cela, l'empereur Orok'krel décide la fin de son empire qui s'écroulait déjà sur lui même, et incite la Corporation à changer de camp.
La raison de cette décision de mettre fin à l'empire est obscure, peut-être qu'il s'agit d'empêcher les militaires de pousser les siths dehors et ainsi de préserver l'Ordre Sith. Personne ne le sait, mais la bataille de Bastion voit finalement la victoire de la République et la destruction de la flotte sith qui bombarde Bastion en signe de vengeance de la part de l'amiral Shakar, trahit par son empereur.
La flotte sith est détruite, et seul les officiers Gilad Castle et Shakar parviennent à s'enfuir, tandis que l'empire s'écroule complètement et que les siths disparaissent.
Shakar achève sa vengeance en désactivant les droïdes de l'armée impériale. Historiquebonadanuq3



Chapitre 4: De l'an 0 (Bastion) à la guerre de Bonadan[]


La Galaxie, qui croit avec innocence être libérée de ses tourments, se reconstruit petit à petit. La République se réforme : le Comte Ewan devient Chancelier Suprême, Nomos Haut-Ministre (tête principale de l'Exécutif), et le Baron Por'Ten, nouvelle tête politique, Juge Suprême. Les deux Puissances victorieuses décident d'organiser un sommet, pour un rapprochement, voire une fusion murmure-t-on. Le retour de l'Unique République ?
En attendant, il faut purger la démocratie de ses anciens maux. Jack, alors Haut-Ministre au moment des faits, se voit arrêté et jugé par la Cour Républicaine, pour les fautes que l'on connaît et qui ont troublé une période déjà bien tumultueuse. On appellera cela, avec beaucoup d'originalité, « l'affaire Jack ». Cependant, ledit Jack trouvera un moyen de s'enfuir afin de se réfugier sur Belkadan, où il essayera de convaincre son administrateur de rejoindre sa nouvelle cause. Cependant, Belkadan prévient Coruscant. Le Juge Suprême arrêtera Jack, mais celui-ci ne manquera pas d'éliminer le pauvre administrateur dans un acte de folie. Incarcéré, il est contacté par Jerebeat par une lettre parlant d'organisations secrètes (le Soleil Noir) et autres étranges choses non élucidées, qui confirmèrent la réputation ... particulière de Jerebeat.
Le Chancelier Ewan est reconduit dans ses fonctions, Nomos est élu Juge Suprême, et Por'Ten devient Haut-Ministre. Le chef de l'Exécutif mènera une expédition très secrète sur Korriban (dont les coordonnées ont été retrouvées par Castle qui collaborera avec les républicains) qui confirmera la disparition des Siths, tout du moins en apparence.
Le sommet tant attendu est organisé, en rassemblant les trois têtes précédemment citées, et l'Amiral Katarn, légataire de l'Autorité de Lah. La Corporation rejoint la République, qu'on se plaît à prétendre réunifiée. Durant ce sommet, la réforme militaire tant attendue après les quelques flous installés après la bataille de Bastion, fait quelques vagues. Celle-ci stipule que les forces corporatistes, au mérite reconnu, fusionnent avec celles républicaines pour former les Forces Armées Républicaines (FAR). Celle-ci prévoit entre autre la création de quatre corps : la Marine (sous le commandement du reconverti Général Por'Ten), les Renseignements (dirigés eux par le repenti Castle), la Composante Terrestre (commandée par le républicain Lewin) et l'unité d'élite G.I.R. (dirigé lui par le corporatiste Dessan Wen.). Ceci annonce donc très clairement la déchéance de l'ancien chef des armées républicaines, Titus, qui, furieux, quittera l'armée avec quelques comparses.
Jerebeat, qui baigne dans des affaires troubles, est accusé de corruption.
Les mandats se succèdent, Atton Vos devient Chancelier Suprême, Nomos redevient Haut-Ministre, et un certain Solkan, télosien, prend le poste de Juge Suprême. Mais à l'heure de la paix, dit-on, des troubles viennent ébranler les convictions que l'Enquête Por'Ten avait amené. En effet, on apprend qu'un sith du nom de Darth Fury (ancien général impérial) se serait battu avec le chevalier jedi Sélène Banshee dans une sordide ruelle de Coruscant, puis se serait enfuit après l'intervention salvatrice de Maître Yoda. Ceci allant de pair avec un autre événement : l'ancien Empereur bothan, Oktrem Orok'krel, cédant aux affres de la folie, attaquera vainement le Temple Jedi. Neutralisé par Yoda, il pousse un dernier soupir en se disant libéré du joug maléfique de Plagueis. Malgré ce folklore mystique, on s'inquiète de ces étranges manifestations. Les siths, encore présents ?
Malgré les inquiétudes, le République entre dans une période plus décentralisée. Les politiciens accordent plus d'importance à leur planète d'origine, et les gouvernements planétaires se voient renforcés, en nommant principalement leur sénateur. Devant ce phénomène, Nomos propose une nouvelle Constitution au Sénat, dont le silence inquiète et menace l'intégrité de la République Réunifiée.
De vives divergences médiatiques agitent les FARs, son Amiral contestant l'indépendance militaire que veut s'octroyer la Vice-Reine d'Alderaan, Yuna Akitama. Cependant les FARs sont occupés ailleurs : une grande mission d'envergure est lancée sur un complexe abandonné de Bonadan, où le général Por'Ten mourra dans des circonstances étranges. Ce complexe se voit également peuplé d'une horde de chasseurs de primes travaillant pour Jabba.
Une Agence, regroupant des mercenaires au service de la République, projet de Melchior Cortex et Gilad Castle, qui à la disparition du premier en devient le directeur, naît.
Beaucoup de changements, on craint à nouveau quant à l'unité Républicaine, face à cette décentralisation individuelle. L'absence de risque ferait-elle baisser la garde à la République ?
La Seconde République (que l'on espère aussi millénaire!) naît, redonnant au Chancelier Suprême les prérogatives de l'Exécutif, et laissant une présidence indépendante au Sénat. Celle-ci est assurée par le Comte Ewan, dont l'expérience en la matière est grande. Solkan garde son poste, et Nomos, inspirateur et rédacteur de la Constitution, devient le Chancelier Suprême. Les chefs d'États planétaires sont eux parallèlement élus, signe de la fusion que l'on espère durable entre Indépendance planétaire et État Républicain.
Cependant le spectre revient : l'Ordre Jedi enquêterait sur des rackets violents que des siths commettraient auprès de marchands divers. L'œuvre semble bien peu noble pour des siths, mais elle fait ressurgir d'anciennes craintes.
La paix n'est jamais durable : le roi Jerebeat, dont on connaît le passif, fait quitter sa planète Corellia de la République, après avoir dépassé largement les quotas militaires établis par le Sénat, instaurés par la Charte des planètes-membres du Roi naboo Rak'skar. Celle-ci continue à s'armer, au risque de créer un gouffre financier. Face à cette attitude en apparence irresponsable, le Sénat s'inquiète de ces volontés militaristes peu engageantes quant à l'avenir... mais un référendum, face aux accusations du Sénat, confirme la décision de Jerebeat. Sans doute la population avait-elle confiance en sa nouvelle destinée...
On a raison de craindre, car la Royauté de Bonadan signe avec Jerebeat une alliance, contre la République Galactique. Bonadan aurait en effet des velléités conquérantes en faible adéquation avec les principes de la République. Le général Castle, lui, décide de quitter la République, alors que le marchand qui avait dénoncé les rackets siths, est amené dans les geôles de Korriban, où il est torturé puis éliminé. Castle éliminera Titus, aidé par Han Solo, ancien rival, dans un duel violent sur Mustafar. On est loin des joies communes face à la réunification.
On rentre à nouveau dans un conflit, d'importance moindre cependant : alors que Bonadan et ses forces armées tentaculaires abattent leur courroux sur Felucia, Utapau et d'autres localités, son Roi fait enfermer Wittin Kalit, ministre de la diplomatie venu négocier. On ne fait pas de réponses plus charmantes, la République déclare donc en toute cordialité la guerre à ce système estimé dangereux.
La République intervient face aux cris de secours des planètes envahies, et mène des frappes localisées, faisant battre progressivement en retraite l'armée de Bonadan. La flotte Républicaine, menaçante, surgit dans l'orbite de l'assaillante. On est loin du conflit de Bastion, la République se montre cette fois-ci bien plus puissante... la folie de Bonadan sera par la contrainte matée dans le sang, ce qui ne plaît pas vraiment à tout le monde.
En attendant, dans les fastes des Palais Royaux, Wittin Kalit est liberé par Sélène Banshee, Yoda et les jedis. Cependant, un jeune padawan, dans un accès de rage, élimine le Roi de Bonadan, dont la tête éclate sur les murs raffinés de son palais. On dira alors que c'est bien fait, ce qui n'est pas totalement faux (mais un roi reste un roi...)
Et dans le ciel, la République fait face à l'alliance corello-bonadienne. L'issu de la bataille paraît moins certaine... mais Sa Majesté Corellienne s'entoure mal : son général, Kakett Lah, après un accord secret passé avec Katarn, désactive une grande partie de la Flotte majoritairement mécanisée, de Corellia. Et c'est après d'autres péripéties que nul n'aurait prévu, que les vaisseaux de Bonadan cèdent sous le bombardement intensif de la République, à nouveau victorieuse.
C'est surtout la déroute d'une ancienne puissance républicaine que l'on distingue entre les carcasses fumantes. Le grand perdant de cette aventure avortée périt dans la bataille, dans une navette obscure (nous parlons ici de Jerebeat, que l'on regrettera peu). Seulement il laisse sa planète exsangue, ruinée par ses dépenses financières, et désespérément seule. Bonadan, elle, rumine dans son coin, un goût amer dans sa bouche devant les rêves perdus. Les planètes-victimes sont quant à elles libérées, par la grâce républicaine.
Après ces tumultes, un ancien militaire de Jerebeat se proclame Empereur de la puissance déchue, et signe sur Coruscant des accords reconnaissant la responsabilité de Corellia, et lui interdisant toute flotte, tant que la démocratie ne serait pas revenue. La République a gagné, mais sans grande gloire. On appellera le souverain bonadien assassiné le Roi-Martyr : la République s'est faite un ennemi, et pour longtemps. Mais parallèlement, elle vient de gagner d'autres gratitudes d'Utapau ou de Felucia. Mais à quoi bon gagner, si on en sort affaibli, et jusqu'à quel rythme peut-on ainsi prospérer? L'Histoire n'a pas fini de réserver à ses acteurs, ou à ses victimes, bien des surprises

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Chapitre 5: De la guerre de Bonadan à la terreur sith[]


Point de repos pour la Galaxie. Alors que le second conflit, impliquant plusieurs puissances (bien qu'il ne soit en rien comparable à la guerre qui avait menacé l'ordre galactique), s'achevait, la République découvrit des conséquences imprévues, et fâcheuses, à sa nouvelle victoire. Sur Naboo (membre fondateur, comme on l'a déjà dit), le Roi Raek Rak'skar, installé depuis longtemps sur le trône, proclame l'indépendance de Naboo, accusant la République d'avoir entretenu l'opacité lors de ce qui convient d'appeler la Guerre de Bonadan, et de disposer d'institutions endormies et inefficaces. Et annonçant, par dessus tout, une alliance avec Corellia pour créer une Nouvelle Union, avec Corellia, la dissidente.
En effet, quelques temps avant, des élections anticipées eurent lieu sur Corellia et Alderaan. Il s'agissait notamment pour la première de retrouver un régime plus démocratique. Gilad Castle, dont nous avons déjà parlé (corellien d'origine) se présente face à Jack, ancien collaborateur de feu Jerebeat. Sur Alderaan, c'est l'ex-chancelier Ewan qui affronte un inconnu nommé Bibo Shakan. Ewan et Castle gagnent. La République démocratique de Corellia est née, balayant les fastes monarchiques, mais instaurant tout de même un régime puissant, sur une présidence à vie. Castle sera ainsi un artisan de l'Union Galactique.
Pour en revenir à notre affaire, elle fit beaucoup de bruit. Les discussions furent vives. Le Chancelier Nomos condamna avec véhémence ce départ, l'accusant d'être inadapté à la situation. Rak'skar répliquera quelques jours plus tard, affirmant ses volontés pacifistes envers la République, qu'aucune expansion ne se ferait à son détriment, se démarquant en cela la sécession ancienne de Jerebeat (qui a finit comme on le sait). Le ton se calma rapidement, alors que Nomos quittait le pouvoir, après une tentative de vote d'acceptation des pleins pouvoirs qui avait obligé le Sénateur Kalit à menacer le wookie d'une motion de censure, jugeant la réaction (elle aussi) inadaptée. La relation entre les deux politiciens se verra incroyablement gâchée, l'exercice du pouvoir étant un jeu bien cruel.

Voyant la houle se calmer, les Accords de Theed sont signés dans la capitale Naboo entre le Président Castle et le Roi Rak'skar, créant officiellement l'Union Galactique. Celle-ci s'organise autour d'un Grand Conseil – sorte de Sénat – et d'un Gouvernement, l'Autorité Unifiée, plus stable par l'indétermination de la durée des mandats. Raek Rak'skar en devient le premier président, et Gilad Castle le commandeur aux armées. Une seconde puissance est née, la première depuis la Corporation et l'Empire. Mais, on ne peut dire que la situation est semblable, on s'interroge sur la longévité de cette « Alternative », mais seule l'Histoire le dira.

Sur Coruscant maintenant, Wittin Kalit est élu Chancelier Suprême, face à Richard Décret et Eva Lyn, deux inconnus, se basant sur des nouvelles réformes visant à palier les problèmes dénoncés par l'Union. Nomos est élu président du Sénat quelques jours plus tard (parce que la rancune n'est jamais officielle). Ainsi, alors que la législature s'ouvre, Nomos propose une Constitution écrite de sa main, sous les idées du Chancelier Kalit, instaurant la Troisième République Galactique. Celle-ci se base alors sur des chargés de missions, non sur des ministres permanents, et sur une séparation des pouvoirs améliorée.

La Réforme, à nouveau revient. La Guerre de Bonadan aura marquée une étape, les civilisations s'y seront adaptées, tout du moins en apparence.

Alors que les nouveaux régimes naissent, une affaire vient ternir l'équilibre galactique, tant désiré depuis les affres de la guerre. Sur Bespin, le président Castle envoie des agents arrêter un fugitif corellien, séditieux. Seulement ceux-ci échouent, et l'avertissement de Castle à la présidence de Bespin s'avèrera, pour elle, trop tardive. Les amateurs sont arrêtés par les FARs, ameutés par le Président de Bespin, arrivés en masse (une polémique impliquera d'ailleurs le Général Wen et l'Amiral Katarn quant à leur traitement, le peuple semble apprécier ce genre de questions, qui ne sont pas nouvelles). Les agents seront libérés peu de temps après, pour disparaître aussitôt. Selon des rumeurs sur Tatooine, le dernier qui les aurait vu en vie était Castle en personne. Même sans grande importance, cette affaire rendra fort tendues les relations entre Corellia et la République (cette dernière en ayant visiblement assez d'être dérangée par ces démons corelliens), bien qu'aucune sanction réelle ne sera prise.

Sur Naboo et Bespin sont lancées des élections. Sur la première, Pharon Haako, unioniste ancien gouverneur du Roi Rak'skar, fait face à la très républicaine Cielo. Sur la seconde, Eva Lyn affronte Eric de Siléas. Haako et Siléas accèdent aux fonctions espérées, certains affirmeront que l'élection naboo remplacera l'absence de référendum choisie par Rak'skar, critiquée alors.

Cependant les deux nouvelles puissances (bien qu'elles ne soient pas vraiment sur un pied d'égalité) avancent. De nombreuses réformes sont votées lors de la Législature du Président Nomos, concernant des codes pénaux, des réformes sur les droits, la réglementation des armes. L'Union, elle, se dotera d'une Constitution nouvelle, incluant un exécutif plus élaboré. Un traité sera même signé entre la République et l'Union, par le Ministre d'État (nouveau titre) Rak'skar et le Chancelier Kalit, incluant une collaboration judiciaire (qui elle aussi servira peu de temps après) spatiale et créant des ambassades. Tout semble aller pour le mieux, malgré ce petit incident de parcours.

Mais une affaire plus grave va jeter un certain trouble. Dans les tréfonds putrides de Coruscant, accueillant milles horreurs, on retrouve le cadavre décapité de Katarn, et le corps du militaire Oldima, enfin ce qu'il en reste. A côté d'eux, le Général Wen, et – surprise – le président Castle sont retrouvés. Scène assez insolite, l'Opinion Publique, au jugement que l'on sait acéré et pourtant vif, en restera interdite (on ne s'ennuie pas avec Castle visiblement).

Et, alors que les étranges suspects sont arrêtés, l'administrateur de Kashyyyk, Rune Ka, fait une révélation fracassante au Sénat, affirmant son identité d'ancien sith renégat, revendiquant le meurtre d'Oldima et la tentative de meurtre sur Wen et Castle, affirmant que Katarn fut Sith, et affirmant qu'il a assassiné Siléas (Président de Bespin disparu depuis quelques jours). Et menaçant, par dessus le marché, la galaxie de nouvelles exactions terroristes, car aucun ordre, selon lui, n'apparaît légitime, ni la République, ni les jedis, ni les siths, ni l'Union Galactique. Tout ça d'un coup. Ce n'est pas tellement le fait qu'un administrateur de Kashyyyk soit sith (la planète ayant à la vérité peu d'intérêt géopolitique), ni qu'un Président de Bespin soit assassiné (c'est certes plus inquiétant...) mais surtout que l'Amiral des FARs (un sith?) ait pu être éliminé dans des conditions si étranges, dans un trouble si manifeste.

Car, à ce moment, tout le monde l'apprend (alors que la Chancellerie le sait depuis déjà quelques temps, ce qui agacera le Sénat de découvrir la vérité grâce à un terroriste). Cela fait beaucoup de morts d'un coup, alors que l'on croyait le calme revenu (on aura désormais du mal à se sentir tranquille désormais...). L'interrogatoire de Castle et Wen présentera la même version (Katarn et Ka tout deux siths, ayant tenté d'abattre le général et le président, qui se défendant aurait occis Katarn et provoqué la fuite de son comparse). On est loin de l'Affaire Jack qui semble désuettement simplissime. La nouvelle saga effraie cependant, serait-ce donc le retour de ces Siths Dégénérés que l'on croyait éteints. Ce n'est pas un Empire, c'est encore pire, c'est silencieux. On s'inquiète.

A nouveau, l'Histoire donnera à ce «on» raison.

Car cette histoire ne saurait s'arrêter : il faut désormais organiser la suite de cette affaire. Sur Bespin, il faut organiser la succession : Nebmar, mon calamari inconnu, Jack Décret, revenu d'on ne sait où, et Grawn Harhan, Commandant des forces armées de Bespin, se la disputent. A Coruscant, le mandat du Chancelier Kalit s'achève : celui-ci tentant un second mandat face à Nomos (premier face à face...) et (à nouveau) Eva Lyn. Nomos et Nebmar gagneront.

Le Chancelier Nomos, au poste retrouvé, rencontrera Rak'skar pour entériner définitivement le Traité Commun. Gilad Castle, une fois l'instruction achevée, sera donc jugé par un Tribunal Mixte, maigre compensation certainement pour ce chef d'État, tout de même incarcéré comme un criminel. On ne peut plus vraiment parler d'équilibre, bien que la République et l'Union aient affirmé leur volonté de lutter ensemble contre leurs ennemis.

Et cela ne fera qu'empirer.

Alors qu'on se remet avec peine des évènements, on apprend que Pharon Haako serait mort par le même procédé que Siléas (disparition, puis revendication). Mais pas de doute, ladite revendication vidéo est accompagnée d'une image (ragoutante) de la tête du défunt. Et pis, d'enregistrements vidéos affirment que le Roi de Naboo serait un traître, ayant fourni de l'argent (30 millions!) à une organisation terroriste et ayant ourdit des complots contre l'État Unifié. Stupeur, à nouveau, il y aurait donc des traîtres partout ?

L'Autorité Unifiée mène l'enquête, et malheureusement confirme. Le trouble est désormais partout. Et à nouveau, cela empirera. La Violence monte inexorablement, car le pire arrive. Alderaan, pionnière du pacifisme, des arts et des lettres, de la culture inter-galactique, est affreusement blessée. Une flotte secrète (dont Nebmar avait soupçonné l'existence : elle aurait été subventionnée par Siléas, dont l'histoire commence à ressembler de manière inquiétante à celle de Haako) arrive dans l'espace vide de la planète. Elle crache son feu, impunément, sur la proie facile. L'École de Diplomatie, le Palais, d'autres bâtiments au cœur de la planète sont touchés, férocement endommagés. La Flotte repart aussi vite qu'elle est arrivée, poursuivie par Jared Vos, nouvel Amiral des FARs, mais cela semble trop tard.

Les alderaanais et la galaxie découvrent avec horreur l'ampleur des dégâts. Les secours arrivent, mais ne peuvent masquer l'ampleur du désastre. Les élections viennent de se terminer, alors que le Vice-Roi Ewan avait donné sa démission quelques temps avant (étrange coïncidence, a dit Ka, qui ne manqua pas de s'adresser, auto-satisfait, face à la population terrifiée). Ce fut donc à Namrand Nemelisk, ancien Sénateur et nouveau Vice-Roi de prendre les choses en main, il aura bien du travail. La violence est arrivée à grande échelle dans la galaxie, il ne s'agit plus de conflits d'intérêts, mais d'un terrorisme insidieux.

L'Union Galactique réagit rapidement : le Ministre Rak'skar convoque la conférence extraordinaire de Sedirae, adoptant la création d'un nouvel État, la Confédération, privilégiant la puissance de l'État en matière de Sécurité, et de Diplomatie, grâce à un Directoire. Cela sera-t-il suffisant, pour palier à la menace, qu'on qualifie désormais de grandissante? En tout cas, un dispositif militaire plus imposant est déployé. Car l'ennemi est bien armé, trop bien armé pour que l'on l'ignore.

Mais plus personne ne commet désormais cette erreur. Maintenant, on ne peut que se demander ce qui pourrait arriver de pire. L'Histoire, comme nous l'avons déjà dit, sait conserver un suspense haletant.

Et c'est au dernier moment que le pire arrive.

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C'est toujours quand on n'attend pas le mal qu'il se montre brutal. L'enquête des Jedis sur la mort de l'Amiral Katarn dévoile en effet l'impensable : l'identité de ceux qui ont tissé patiemment la toile dans laquelle s'englue la République et la galaxie tout entière.

En effet, au fond de leurs geôles sur Kashyyyk, Dessan Wen et Gilad Castle, les meurtriers de l'Amiral Katarn, révèlent l'impossible.

Ainsi, le Chancelier apprend la terrible vérité qui fait de Raek Rak'skar, Ministre confédéré, de Syal Sei’lar, Présidente du Sénat républicain, et de Dessan Wen, général des FAR, les héritiers de l'antique Ordre Sith. Et de Gilad Castle, un sympathisant.

La traque commence alors, organisée par la République et les Jedis, qui piègent le Ministre Rak'skar lors d'une fausse rencontre avec le Chancelier Nomos, où il perd la vie face à Sélène Banshee, un Chevalier Jedi talentueux. Le combat est intense et violent, saccageant le bureau du Chancelier, mais le bothan, malgré sa maîtrise du coté obscur, n'a pas la force de la jeunesse de Sélène et finit tué.

Syal Sei’lar, alias Lady Skirmish, la femme Sith la plus cruelle de la galaxie, est arrêtée par le Maître Yoda en personne. Mais les Sith ne se rendent que s'ils ont une chance de s'en sortir par la suite, et Skirmish n'en avait pas. Le duel est rapide et terrible, mais le Jedi est trop puissant et la Sith périt à son tour.

Rune Ka, l'assaillant d'Alderaan est quant à lui tué par Maître Windu sur Kashyyyk, suite à un marché entre Gilad Castle et la justice républicaine. Mais celui-ci n'obtient pas sa libération pour autant.

Quand à Dessan Wen, il est coupé de la Force, jugé, puis condamné à une peine de prison qu'il purge.

La fin de l'Ordre Sith semble dès lors confirmée.

Mais la mort des Sith et la victoire des Jedi ne signifient pas le retour du calme, car l'ombre semble tomber peu à peu sur la galaxie, ainsi que le chaos.

Alderaan doit en effet souffrir la mort de son nouveau Vice Roi, Namrand Lemelisk, alors que celui-ci avait juste eu le temps de reconstruire la planète meurtrie par le passage de Rune Ka. Des élections sont alors lancées pour désigner le nouveau Vice Roi. C'est le Baron Fatir Hyrroml qui l'emporte face à Dyo Nisos et Skaar Skarn.

Au même moment, sur Kuat, des élections se tiennent aussi afin de remplacer le Consul sortant. Le farghul Feyd'Ruatha Seleydan l'emporte face au citoyen Niles Danva et à Treyz Merkiz, un ministre télosien. S3q9ud



Chapitre 6: De la terreur sith à nos jours[]


Alors que le spectre des sith s'éloignent mais que le chaos apparait de plus en plus présent, sur Coyn, une planète du secteur Elrood, colonisée par la République, les autochtones se soulèvent contre les colons venus exploiter les mines de la planète. Le code d'honneur et la tradition brutale des Coynites les poussant à exterminer ceux qu'ils considèrent comme ennemi, les colons subissent rapidement un pogrom en règle qui oblige la République à réagir. Après de longues délibérations au Sénat, prévenu par Ketac Fen’ideria, un bothan diplomate envoyé par le Ministre de la Diplomatie de la République, les membres de l'Assemblée décident d'évacuer militairement Coyn, provoquant une crise économique des systèmes avoisinants. L'évacuation, empêchée par les Coynites, oblige l'Amiral Vos des FAR à bombarder la planète, occasionnant un nombre très élevé de morts et transformant la région en une zone très instable où règnent les tensions entre colons et indigènes.
Mais la République n'est pas la seule touchée par le chaos qui s'instaure, car la Confédération doit subir les effets de la trahison de son Ministre Rak'skar. Prenant l'initiative de désamorcer le conflit larvé avec la République, méfiante depuis la découverte du sith, la Confédération organise le Sommet de Nubia. Ce sommet voit l'abolition du traité corellien datant de la guerre, la création d'un nouveau entre les deux partis présents et la mise en place des conditions exceptionnelles du jugement de Gilad Castle. Malgré cela, la méfiance règne et même au sein de la Confédération, des voix d'oppositions se font entendre, notamment sur Naboo par divers attentats contre des symboles et des membres importants de la Confédération. Ainsi l'aile Est de l'hôtel de Sedirae, lieu de la signature de la Confédération, s'est vu ravagée par une bombe, et Maximilian de Meternick, représentant corellien, faillit perdre la vie.
Les troubles de la Confédération ne passe pas inaperçus de la République, qui elle même connaissait des troubles internes. Le choix du Sénat d'outrepasser sa fonction pour ordonner l'envoi de troupes sur Coyn cause une crise politique que tente de dépasser le chancelier Nomos. Déjà, d'aucun pense que cet acte du Sénat est un signe de la faiblesse du vieux chancelier, trop conciliant et sage face un Sénat de voyou, quand d'autres y voit le signe d'une révolte face à son autoritarisme. Que l'on soit pour le Sénat ou pour le Chancelier, la crise est bien là.
Pendant que la République lutte contre son propre dysfonctionnement et que la Confédération s'enfonce dans la guerre contre le terrorisme, d'autre puissance galactique joue leur avantage. Ainsi, le Techno-Syndicat, puissant conglomérat d'entreprise technique et notamment de droïde, profite de la confusion pour se battre pour les restes de Coyn et pousser sa domination du secteur Elrood plus loin. Il obtient la possession des mines de la planète en invalidant les termes du traité de paix, grâce à des failles dans les lois sur la colonisation.
Insatisfaite d'une telle avancée d'un concurrent, la Fédération Du Commerce, décide d'user de la force afin de frapper un grand coup et envoie des mercenaires à la conquête de la planète. Le Techno-Syndicat, possédant une faible armée sur place est balayé et décide de chercher l'aide auprès de la République.
Enlisée dans sa crise politique et surtout peu encline à agir encore sur Coyn, la République ne soutient le Techno-Syndicat que pour le principe, espérant faire plier la F.D.C par son seul poids politique. Mais il s'agit d'un échec et la F.D.C prend alors position sur Coyn qu'elle commence à exploiter, malgré la tentative militaire de reprendre la planète par le Techno-Syndicat.
La défaite de cette tentative de reprise par la force amène la F.D.C à voir plus grand et celle-ci attaque alors la planète Utapau, base de son concurrent servant de lien entre la Bordure Médiane et le secteur Elrood.
Ne pouvant plus ignorer l'attitude hostile de la F.D.C qui a pourtant des accord avec la République, celle-ci, via le Sénat, tente une négociation afin d'éviter une guerre entre les deux conglomérats, une guerre que le Sénat sait d'avance désastreuse et surement interminable.
Pendant que la République négocie, s'effondre la Confédération, trahit par deux de ses membres et achevée par le retour de Naboo dans la République. Afin de ne pas complètement perdre tout ce qui a été accompli, les membres restant décide alors de se réunir afin de refonder une nouvelle alliance, moins disparate géographiquement et culturellement. Ainsi nait l'Alliance Corellienne, se recentrant sur le seul secteur corélien.
De son coté, refusant la négociation, la F.D.C capture une délégation sénatoriale et refuse tous compromis. La République n'a plus d'autre choix que de partir en guerre contre le conglomérat, pensant régler ça rapidement.
Déjà on murmure sur Coruscant qu'il s'agit probablement de la première guerre d'envergure depuis la guerre contre Bonadan.
La reprise de Coyn, puis d'Utapau se fait d'abord attendre, alors que la République s'engage dans ce qu'elle croit être une guerre rapide. La flottille envoyé afin de reprendre Utapau et d'impressionner la F.D.C est détruite par la flotte adverse, plus nombreuse et cette défaite fait comprendre à la République que cette guerre ne sera pas une simple mission de maintient de la paix, mais que le spectre de la guerre galactique n'est plus très loin.
La seconde bataille pour reprendre les planètes est à l'avantage de la République. Afin d'éviter que le conflit ne s'envenime, inquiet d'une alliance entre corporation, la riposte est faite par une force immense et très supérieure à celle de la FDC, espérant frapper aussi bien la puissance militaire que l'esprit de l'ennemi.
Mais alors que la République prend pied sur Utapau, la mort suspecte de grands actionnaires et dirigeants des principales corporations sème la panique sur les marchés boursiers déjà sous le choc de l'attaque d'une si grande compagnie que la F.D.C. Face à la panique, le Sénat, qui y voit un risque, prend les devant et planifie une attaque de Cato Némoïdia. Face à cette décision du Sénat, une fois de plus passant outre le chancelier, Le vieux Wookie, Nomos, fatigué de diriger une République qui ne sait plus où elle va, démissionne afin de partir dans la dignité avant que le Sénat ne mène l'État à la ruine.
Les principales corporations, craignant de voir dans la mort de ses actionnaires et surtout, de l'emblématique président de l'Autorité du Secteur Corporatif, Passel Argente, une action des Service de Renseignement de la République, rapatrie l'ensemble de leur diplomate et homme d'affaire de Coruscant, laissant présager le pire alors que la République s'apprête à frapper le cœur de la F.D.C désormais affaiblie.

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